Le site Ruches connectées de Monaco permet de mieux connaitre les abeilles et de suivre celles qui sont suivies par de multiples capteurs.
Envie des les suivre et de les observer ? Quatre ruches sont actuellement installées :
Les APIdays 2024 de Monaco approchent !
Les 14 et 15 juin 2024, la Direction de l'Aménagement Urbain organisera les APIdays 2024 de Monaco. Parmi les nombreux stands dédiés à une meilleure connaissance des abeilles et à leur protection, la Direction de l'Education nationale, de la Jeunesse et des Sports tiendra un stand dédié aux Ruches connectées de Monaco. Cette année, des élèves de l'institution François-d'Assise-Nicolas-Barré et du lycée Rainier-III viendront présenter les résultats de leurs travaux effectués tout au long de l'année autour des abeilles et du miel.
Venez nombreux !
Le printemps approche et il est nécessaire de préparer la nouvelle saison !
Le contrôle visuel montre que les ruches se portent bien. Les jardiniers de la Direction de l'Aménagement Urbain (DAU) y a installé un nouveau cadre de corps en prévision de la ponte de la reine et le développement de nouvelles larves. Vous pouvez accéder au suivi des ruches !
L'hiver approche ! Le contrôle visuel des ruches est donc nécessaire, afin de nous assurer que les colonies sont en bonne santé et qu'elles pourront passer la saison froide avec une nourriture suffisante et que le couvain est viable pour la métamorphose du printemps prochain.
Le contrôle des ruches connectées sur le territoire monégasque est positif. Malheureusement, la ruche de La Turbie a périclité à la fin de l'été. Il faudra envisager de la coloniser à nouveau au retour des beaux jours ! Vous pouvez accéder au suivi des ruches !
Afin de faire face à la menace du frelon asiatique sur les abeilles, une muselière a été installée devant la piste d'envol la ruche de la fondation Prince-Albert-II-de-Monaco. Cette muselière, dont les mailles sont assez serrées pour laisser passer les ouvrières, mais pas les prédateurs, empêche les frelons de s'approcher au plus près de l'ouverture de la ruche. Elles disposent ainsi d'une protection supplémentaire, la muselière empêchant les captures des abeilles au décollage ou à l'atterrissage. De plus, en tenant les frelons éloignés, leurs phéromones, qui peuvent affoler leurs proies, sont tenues à distance.
Le contrôle de la ruche montre une reine en pleine forme. Il faut espérer qu'elle se portera bien !
Vous pouvez accéder au suivi des ruches !
Vous pouvez accéder au suivi des ruches !
Un des essaims natuels de la ruche de la fondation Prince-Albert-II-de-Monaco a été installée dans celle qui avait périclité à La Turbie. La reine et ses abeilles semblent s'être habituées à leur nouvel habitat !
Deux jours après le dernier essaimage, la ruche de la fondation Prince-Albert-II-de-Monaco a de nouveau essaimé de manière naturelle ! Cette fois-ci, la nouvelle reine s'est posée sur un agrume et les agents de la Direction de l'Aménagement Urbain ont pu couper la branche porteuse pour la déposer sur une ruchette de transport. Cette opération a permis de déplacer la reine de manière plus aisée. Nous en sommes donc à huit reines issues de cette colonie !
Décidément, la ruche de la fondation Prince-Albert-II-de-Monaco est dans une forme exceptionnelle un nouvel essaimage naturel a eu lieu aujourd'hui ! Ce nouvel essaim, qui s'est posé à quelques mètres de la ruche initiale, a pu être récupéré par les agents de la Direction de l'Aménagement Urbain. Nous en sommes donc à sept reines issues de cette colonie !
Toujours dans le prolongement des bonnes nouvelles concernant la ruche de la fondation Prince-Albert-II-de-Monaco, le dimanche 02/04/2023 a eu lieu un essaimage naturel : une nouvelle reine mature a quitté la ruche, accompagnée d'une partie des abeilles de la ruche ! Ce nouvel essaim est parti en quête d'un nouvel habitat pour développer une nouvelle colonie. Cet essaimage constitue le troisième de cette ruche cette saison. Avec la partition d'essaim pratiquée deux jours avant l'inauguration de la ruche de la fondation par S.A.S le Prince Albert II de Monaco, nous en sommes donc à quatre reines issues de cette colonie !
Signe de la bonne santé de la colonie, aujourd'hui, un nouvel essaimage naturel a eu lieu ! L'esssaim récupéré colonisera la deuxième ruche connectée qui sera installée dans le jardin de la fondation. En attendant, elle sera conservée dans une ruchette de transport par la Direction de l'Aménagement Urbain !
S.A.S le Prince Albert II de Monaco a inauguré la ruche connectée installée dans les jardins de sa fondation, en compagnie de Madame Isabelle Bonnal, Commissaire Général chargé de la Direction de l'Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports. Le Prince Souverain a ainsi pu découvrir l'installation électronique permettant de relever des données et observer un cadre de hausse de ruche, qui comportait une nymphe de reine et de nombreuses abeilles affairées.
Deux jours avant l'inauguration, face à la multiplication des abeilles et au nombreuses nymphes de reines d'abailles, les agents de la Direction de l'Aménagement Urbain ont fait le choix de diviser l'essaim pour coloniser une des ruches connectées qui avait périclité.
Dans le prolongement des bonnes nouvelles concernant la ruche de la fondation Prince-Albert-II-de-Monaco, les agents de la Direction de l'Aménagement Urbain (DAU) ont soulevé le toit et observé la ruche. Plusieurs alvéoles de futures reines ont été repérées ! Il a donc été décidé de partitionner la ruche, opération qui consiste à prendre les alvéoles des futures reines, accompagnées d'une partie des abeilles, pour les installer dans une ruche connectée qui a été abandonnée par ses occupantes. Il faut espérer qu'au moins une des reines arrivera à maturité et pourra prendre la tête d'une nouvelle colonie !
Autre signe de la bonne santé de la colonie : les nouveaux pots installés pour observer les ouvrières au travail ont déjà été colonisés !
En contrepoint de la nouvelle concernant la ruche connectée de La Turbie, d'excellentes nouvelles nous sont parvenues de la ruche de la fondation Prince-Albert-II-de-Monaco. L'essaim, qui s'était confiné pour éviter la prédation des frelons asiatiques cet été et qui, en conséquence, avait surconsommé le miel qu'il avait produit, a profité de l'hiver doux et d'une floraison précoce pour aller butiner et reconstituer ses réserves de nourriture. Résultat : les abeilles, en manque de place dans leur ruche, sont allées installer de nouvelles alvéoles dans les pots en verre disposés dans la hausse pour pouvoir les observer !
Une nouvelle hausse, munie de cadres de hausse, et encore une supplémentaire pour disposer de nouveaux pots en verre ont été installés pour que la ruche puisse se développer !
Vous pouvez accéder au suivi des ruches.
Une bien mauvaise nouvelle : la ruche de La Turbie est vide de ses occupantes. Ne restent que des alvéoles operculées, signe que les abeilles ont quitté la ruche en l'absence de reine. Celle-ci est donc certainement morte ces derniers jours.
Il faut espérer qu'un nouvel essaim pourra être installé au printemps prochain.
Nous sommes en hiver, mais malgré le récent coup de froid, les abeilles estiment que les températures sont suffisamment élevées pour sortir et butiner !
Certaines ont sans doute été surprises par ce coup de froid, ce qui explique les quelques cadavres sur la piste d'envol. Pour toutes les autres, l'activité de collecte de pollen repend en douceur !
Vous pouvez accéder au suivi de la ruche de la fondation Prince-Albert-II-de-Monaco pour plus de détails !
La période de repos des abeilles commence après la récolte de miel de cet été !
Les abeilles consomment leurs réserves de nourriture pour l'automne et l'hiver. Mais comme une partie de ce dernier a été récolté lors du retrait des cadres de hausse, celles-ci profitent des températures clémentes de ces dernières semaines pour continuer leur butinage et consommer le sirop de glucose mis à leur disposition pour compenser la récolte de miel.
La mise à disposition de sirop de glucose est indispensable pour permettre aux insectes de se nourrir pendant l'hiver, mais également pour leur éviter de trop sortir de la ruche et risquer de rencontrer des frelons asiatiques, qui sévissent sur la Principauté.
La surveillance des Ruches connectées se fait via Internet, mais ne dispense pas d'un suivi sur site !
Ce suivi peut s'accompagner d'une maintenance de l'installation électronique des ruches ! Les abeilles sont en pleine forme de La Turbie et des données sont à nouveau envoyées par la ruche !
La récolte du miel a eu lieu à la ruche de La Turbie !
Celui-ci est un peu plus clair que celui de issu des ruches situées en Principauté, mais il est tout aussi liquide !
La surveillance des Ruches connectées se fait via Internet, mais ne dispense pas d'un suivi sur site !
Ce suivi peut s'accompagner d'une maintenance de l'installation électronique des ruches ! Les abeilles sont en pleine forme de La Turbie et des données sont à nouveau envoyées par la ruche !
L'heure de la récolte de miel a sonné à Monaco ! Dès le petit jour, les agents de la DAU se sont rendus auprès des ruches du toit du musée des Timbres et des Monnaies de Monaco et de la fondation Prince-Albert-II-de-Monaco pour y récupérer les cadres de hausse installés en avril dernier.
Si les alvéoles ont été nombreux à être remplis de miel et operculés par les abeilles dans la ruche du musée, ceux de la ruche de la fondation Prince-Albert-II-de-Monaco sont peu remplis. Ceci s'explique par le stress auquel les insectes de cette dernière sont soumises : le frelon asiatique rôde autour de cette ruche et les abeilles n'en sortent plus. En conséquence, elles consomment le miel qu'elles ont accumulé ces derniers mois pour se nourrir. Il en reste donc moins pour les humains !
On peut constater que les alvéoles contiennent bien du miel, mais pas de larve. Comment cela-est-il possible ? « Au moment de l'installation de la hausse, une grille à reine, dont les trous sont suffisamment grands pour laisser passer les ouvrières, mais pas la reine, est placée au sommet du corps de la ruche. Ainsi, les ouvrières peuvent monter dans la hausse, y bâtir des alvéoles et les remplir de miel, sans que la reine puisse y pondre » explique M. Pasteau. Ainsi, le miel peut être récolté sans nuire à la population d'abeilles de la ruche.
La première étape de la récolte du miel consiste à râcler les cadres pour retirer les opercules et ce qui dépasse du cadre de hausse à l'aide d'une spatule. L'excédent tombe dans une cuve en inox. Si des opercules sont encore en place car trop en retrait par rapport au cadre de la hausse, l'utilisation d'une fourchette permet de les retirer délicatement. Le fond de la cuve en inox est une passoire qui permet de retenir les fragments d'alvéoles et d'opercules pour ne laisser couler que le miel dans un récipient placé dessous. On ne perd donc rien du miel !
Les cadres de hausse sont ensuite placés dans une centrifugeuse pour récolter l'essentiel du miel encore contenu dans les alvéoles des cadres de hausse, pendant que les cadres suivants sont préparés.
La centrifugeuse de la DAU est manuelle, mais il existe des modèles motorisés. Soumis à la force centrifuge, le miel est projeté sur la paroi intérieure de la centrifugeuse, avant de s'écouler dans un récipient placé dessous.
Les cadres libérés de leur miel sont stockés dans leur hausse d'origine et seront conservés pour la saison suivante. Ceux-ci comportent encore les fondations des alvéoles des abeilles de l'année. Ainsi, les ouvrières pourront s'appuyer sur les constructions existantes pour compléter les alvéoles, les remplir de miel et les refermer par un opercule.
Tout le miel récolté doit ensuite être versé dans un fût pour y décanter pendant quinze jours, afin que les résidus d'alvéoles et d'opercules, plus légers que le miel, puissent remonter à la surface. Il ne restera plus qu'à ouvrir le robinet à la base du fût pour remplir les pots !
La remise en route suite à une panne d'envoi des données de la ruche connectée de la fondation Prince-Albert-II-de-Monaco a été l'occasion de rendre visite aux abeilles !
Le premier constat est que les abeilles sont en pleine forme, comme en témoigne l'occupation de la piste d'envol ! Mais un coup d'œil sous le toit de la ruche montre que les pots en verre renversés, installés pour permettre d'observer les abeilles sans être en contact direct avec elles, montre que les insectes ont commencé à installer de nouveaux rayons pour leurs larves et le miel. Elles se sentent donc à l'étroit et cherchent à pousser les murs !
Les abeilles de la ruche de La Turbie, installées en même temps que leurs congénères dans leur ruche connectée, sont en pleine forme, comme le montrent les données collectées via Internet !
La ruche de La Turbie fonctionne avec une installation particulière. En premier lieu, l'envoi des données s'effectue par réseau GSM (téléphone portable) via une carte SIM, avec une période programmée, afin de ne pas diffuser trop d'ondes qui pourraient être néfastes pour les abeilles. En second lieu, l'alimentation de l'électronique se fait via un panneau solaire, relié à une batterie dimensionnée pour les capteurs actuels et ceux qui seront installés à l'avenir !
Lors du suivi des ruches effectué par les jardiniers de la Direction de l'Aménagement Urbain, ceux-ci ont pu constater que les abeilles se trouvaient déjà en manque de place : dans la ruche connectée sur le toit du musée des Timbres et des Monnaies de Monaco, elles avaient déjà installé des rayons dans la hausse de ruche encore vide !
Une nouvelle hausse équipée de cadres sera disposée sous cette hausse investie par les insectes pour qu'elles puissent s'installer tranquillement sur les cadres. Au retour de la saison froide, elles devraient spontanément redescendre de la hausse sans cadre vers la corps de ruche !
Les jardiniers de la Direction de l'Aménagement Urbain assurent le suivi des Ruches connectées de Monaco. Trois semaines après leur arrivée en Principauté, les abeilles se portent bien et ont pris leurs quartiers dans leur nouvel habitat.
Elles colonisent les cadres mis à leur disposition pour accueillir le futur couvain. L'année 2022 est, pour le moment, une année favorable aux insectes !
Les quatre essaims d'abeilles destinées aux Ruches connectées de Monaco sont arrivées en Principauté ! Après un transport de nuit, elles ont découvert au petit matin leur nouvel habitat dans les trois sites monégasques, installées par les jardiniers de la Direction de l'Aménagement Urbain. M. Florent TORSOLI a installé le quatrième essaim dans la ruche de La Turbie.
Les abeilles sont vigoureuses et en pleine forme. Durant leur confinement dans la boite de transport, elles ont eu la capacité à créer de nouvelles alvéoles pour accueillir le futur couvain de leur reine !
Bienvenue à elles !
M. Lucien GUÉRIN, apiculteur référent, conseille l'équipe de professeurs et les jardiniers de la Direction de l'Aménagement Urbain sur l'agencement des cadres et l'équipement des ruches en vue de l'accueil des futurs essaims d'abeilles ! Les repérages au Jardin Exotique de Monaco permettent de définir l'implantation de la future ruche connectée !
C'est l'installation de la ruche connectée de la fondation Prince-Albert-II-de-Monaco !
L'assemblage des ruches a été effectué par les élèves du collège Charles-III, la partie électronique par ceux du club sciences de l'institution François-d'Assise-Nicolas-Barré. La ruche de la fondation Prince-Albert-II-de-Monaco est la première des Ruches connectées de Monaco à être mise en service. Les premiers tests d'envoi des données ont pu avoir lieu : tout fonctionne !
Présentation de l'architecture des ruches du rucher de Monaco, sur le toit du musée des Timbres et des Monnaies de Monaco par les agents de la Direction de l'Aménagement Urbain pour les professeurs participant au projet.